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cm acrylique et collages sur jute , anciens sacs de potasse d'Alsace
, montée sur fers à béton
mix
de tissus, papier, aquarelles et broderies à main levée
prix 2800 € frais de port compris ( france)
Icare
/et son père Dédale cherchent à fuir leur exil en Crète pour
retourner à Athènes. Ne pouvant ni s’échapper par la terre ou
par la mer, Dédale eut l’idée de construire pour lui et son son fils des ailes d’oiseau à partir de plumes et de cire. Malgré
les avertissements de son père qui le met en garde contre la
fragilité des ailes, Icare, grisé par ce pouvoir de voler, prend
trop d’altitude ce qui fait fondre la cire des ailes.
Le mythe est
toujours aussi vivant puisqu’il met en scène la relation
père-fils, valable aussi pour mère-fille, et le désir du fils qui
le pousse à transgresser les conseils du père, pour construire son
identité propre.
Icare ici
traverse les années 60/70 , années de liberté de mouvements,
d'ouverture à toutes les expèriences et de tolèrance, , les trois
personnages papier/aquarelle symbolisent la diversité des amours, la
femme/mère, l'hermaphrodite qu'on nommerait trans de nos jours et un
mystique éthéré et joyeux.
Pénélope elle,
elle attend , elle attend son Ulysse, elle brode et rève
…..........elle se dilue d'attente , ses souvenirs sont flous .
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Galerie Sophie Julien |
Derrière
Pénélope la tour de Babel , où les hommes qui parlaient tous la
même langue, construisirent une tour si haute et si belle que Dieu,
les trouvant trop orgueilleux, les punit en leur faisant parler des
langues différentes, si bien qu'ils ne se comprenaient plus.
Ils furent alors contraints de se disperser sur la Terre, formant
ainsi des peuples étrangers les uns des autres.
crédit photo
Alexandre Cousin
Gérard Sendra